• Passage à la casserole


    Jeudi 1er Novembre 2012 à 10:45
    pat

     PASSAGE A LA CASSEROLE Une semaine plus tard, je me prépare pour rencontrer à nouveau mon maître. Minijupe cuir ras la moule, bas résilles, tallons aiguilles, bustier vinyl à lacets gants vinyl à lacets, perruque blonde, hyper maquillée et bien sur mon collier de chien avec sa longue laisse pendante. A la tombée de la nuit, Je retourne dans le bois où la ronde des voitures a déjà commencé, je déambule, en ondulant du cul. J’adore. Ce qui suit n’est plus du domaine du vécu mais du désir le plus profond. A l heure prévue, mon maître arrive, m’attrape par la laisse et sans aucun commentaire m’amène face à une mercédes, pleins phare sur moi. Il me serre les bras en arrière, présentant ma poitrine , relève ma jupe, me caresse le clito dur , afin que les occupant puissent mater. La porte arrière s’ouvre et sans autre commentaire, il me fait monter de force entre deux mecs baraqués. L’un me passe les menottes pendant que l’autre me place un baillon à boule sur la bouche et recouvre mon visage d’une cagoule. J’essaye de me débattre mais c’est peine perdue. Je suis kidnappée ! La peur me prend au ventre, mêlée d’une terrible excitation qui me durcit le clito. Les deux mecs passent leurs mains entre mes cuisses : « C’est bon Robert, ta pute est prête pour le grand soir » Robert est donc le nom de mon maître : « Pas de temps à perdre, on a de la route » La mercédes démarre et nous roulons à vive allure pendant une bonne heure . Je sens que nous quittons la route, empruntons une route empierrée puis entrons dans une cour . Ils me sortent de force, M’attrapent par la laisse. Robert donne ses ordres : « Montez la garce au grenier et préparez la » . Ils me tirent sans ménagement par la laisse après m’avoir oté la cagoule. Nous sommes dans une sorte de château et nous montons jusqu’au grenier au troisième étage. Au mur, une croix de St André. Je m’y retrouve menottée des mains et des pieds, totalement offerte. Robert entre, accompagnée de Sonia, vêtue de cuir noir moulant, les seins à l air, un fouet à la main. « Retire sa jupe Robert, je vais commencer son éducation à ta petite chienne ». Et le fouet commence à claquer sur mes fesses rebondies. A chaque coup je dois la remercier : « merci maîtresse, encore maîtresse » lorsque mes fesses sont bien rouge, Robert s’approche et m’enfile une sorte de god métallique dans le sexe et deux pinces à seins reliées par des fils électriques : « on va te faire danser sale petite chienne ». Et devant mes yeux, Sonia tourne doucement le bouton d’intensité du courant. Mon corps est parcouru d’une onde de douleur et de plaisir. Mon sexe en est raide de plaisir. Puis le courant augmente par accoups , provocant à chaque fois une douleur insupportable dans ma chatte de pute et une brûlure aux tétons. Après un quart d’heure de ce traitement mon cul et mes seins sont en feu. Depuis le début de la séance, l’un des costauds de la mercédes prends des photos et filme la séance. Sonia s’approche alors de moi, ote ma perruque et ordonne au mec de prendre des photos de mon visage et de me corps : « Voilà quelques photos que tu n’aimeras pas voir partout sur internet, on t’y reconnaitra sans pb. Nous savons qui tu es, où tu habites, tu n’as qu’une solution, obéir et faire tout ce que l’on te dira . Compris petite pute ? » « Oui maîtresse » Je n’ai plus le choix . « Très bien Sabine , puisque c’est ainsi que tu t’appelleras » Puis, s’adressant aux deux mecs : « Elle est prête pour la fête, remettez lui sa perruque et descendez là à la cuisine et dites aux cuisiniers de préparer la dinde. » Une peur terrible s’empare de moi. « Préparer la dinde ! » Arrivée dans la cuisine, j’y découvre un énorme plat métallique posé sur une table au bout d’un grand passe plat ; Sans ménagement, les deux costauds m’y déposent et m ordonnent de m’accroupir. Il commencent par m’obliger à boire une grosse dose de Cognac : « Allez y les gars, cela parfumera la viande ! » J’avale de force et rapidement l’effet de l’alcool se fait sentir. Je ne suis pas sure qu’il n’y ait que de l’alcool dans le verre que je dois avaler ! Je ne sais plus ce qui m’arrive. Ils me ligotent les jambes, tibias et cuisses serrés et écartées l’une de l’autre. Mes bras sont nouées dans le dos puis saucissonnés l’un contre l’autre. Mon visage appuye sur le plat au milieu des légumes. Le chef commence à me préparer le cul puis après l’avoir bien huilée, il y introduit une énorme courgette qui se maintient naturellement par sa forme. Il attrape ensuite un gros poireau qu’il place dans ma bouche. Ainsi ficelée, je ne puis bouger je suis prête à passer à la casserole ! Pour que je sois encore plus excitante, il m’enduit les fesses rebondies d’huile d’olive et d’épices diverses. Enfin, je sens qu’il attrape mes testicules et les serre isolément à l’aide de fil de cuisine pour mieux les mettre en évidence/ : « Voici deux belles noix pour nos invités de marque » « Faite annoncer aux invités le plat suivant : » « Dinde au Cognac, au noix et aux légumes variés à farcir à la crème de corps d’homme » Et d’un seul coup, la trappe du passe plat s’ouvre et je me trouve propulsée au centre d’une grande table entourée d’une vingtaine de convives, hommes et femmes, en dinde ficelée, offerte à la dégustation de tous. Et là, tout s’enchaîne rapidement. Le plat est tourné et présenté à tour de rôle devant tous les hommes qui sortent leur queue, tantôt face à ma bouche, tantôt face à mes fesses. Pendant ce temps, les dames caressent mes noix avec envie et me branlent le sexe. Je suis au sommet du plaisir, enivrée par l’alcool et par toutes ces queues. « Allons messieurs, il est temps de farcir la dinde, emplissez la bien par les deux bouts » Et je commence à recevoir la crème, la crème de corps d’homme, dans mon ventre et dans ma bouche. J’avale avec délectation, bourrée, fourrée. Le foutre dégouline de mon sexe en feu et de ma bouche. J’exulte ! « La Dinde est bien farcie, envoyez la à la cuisson » Une peur panique m’envahit. Il ne vont pas me rôtir ! Je me sens propulsée en sens inverse par le passe plat et j’arrive dans la cuisine. Là, mon maître Robert et Sonia ont chacun un énorme couteau à la main. Ils s’approchent du plat et doucement, coupent les liens qui me retiennent. Ouf je souffle ! J’aperçois sur le côté, 4 ou 5 grosses dindes farcies, rôties et ficelées dans la position où j’étais cinq minutes auparavant. Mon maître s’approche de moi, me remets debout, j’ai du mal à tenir ! « Tu es une belle chienne Sabine » « Sonia et moi avons décidé d’aller plus loin. Mais nous t’en parlerons demain » « Vas te reposer, tu en auras bien besoin pour supporter ce qui t’attend » Sur ce, l’un des costauds de la mercédes me prend fermement par la laisse que je porte toujours au cou, me conduit dans une chambre, barreaux aux fenêtres, puis se retire, en fermant la porte à double tour. Je m’allonge et m’endors comme une masse, quand même inquiète sur ce que demain allait m’offrir.

    Esclave sexuelle 




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